Au cirque, dans le domaine de l'équilibrisme, les artistes n'ont jamais manqué d'imagination, et le point de contact n'a cessé de varier. Après le pied, ce fut la main par le biais de cannes (Little John), de balais (Comotti) ou encore de pelles (les Bragazzi) - autant d'artistes tous appréciés chez les Rancy - pour en arriver finalement au seul doigt, à l'image de Tay-Ru ou encore de Quaino qui furent tous deux " rancyniens " et qui s'inscrivirent dans la droite d'Unus, Chevalier, Hans Bela ou encore Wasil lesquels, en revanche, n'eurent jamais les honneurs des pistes de Théodore Rancy et de ses successeurs. Si Tay Ru fut engagé chez " Napoléon Rancy " en 1953, Quaino et ses jongleries phosphorescentes, quant à lui, se produisit en 1961 chez " Napoléon Rancy " à Rouen sur la piste du " Cirque du Boulingrin "....
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